Les buées griffues de transe et d'eau
érigent l'oeil,
montent en son angle,
s'éloignent.
Écarquillé
sous la prunelle,
le sombre poids encre les bribes,
les froissements et vocalises
de consistance
enluminée.
Afin de nouer
les langues mortes,
l'artiste s'assoit, effeuille l'artiste.
2 comments:
La mélancolie infinie de l'artiste, bravo!
Merci Albano...
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